On ne saurait trop insister sur l’importance de l’organisation avant de passer à l’action. Autrement, il s’agit plus d’agitation où l’on fait beaucoup de bruit mais peu d’écho. L’impératif présent, avouons-le, consiste à persuader nos concitoyens à appuyer sans réserve l’indépendance du Québec. Avec l’émergence d’Internet, la donne a changé. Les grands quotidiens et Radio-Canada n’ont plus le monopole pour forger l’opinion publique. Les réseaux sociaux, comme Facebook, ont pris le relais parmi les générations montantes et qui sait ce que demain nous réserve. Sans négliger pour autant les médias traditionnels et communautaires, nous devons porter notre message dans tous les cerveaux et dans tous les coeurs.
L’art de la persuasion
La publicité commerciale et la propagande politique ont toutes deux pour mission de persuader des interlocuteurs. Parmi nos concitoyens, quels sont ceux qui sont susceptibles de partager notre vision de l’avenir du Québec? Dès lors, quel message leur adresser et sous quelle forme, visuelle ou médiatique, rendront possibles l’optimisation de la portée et son impact.
Techniques de cybermilitantisme
Le WEB 2.0 , lequel relie des gens plutôt que des pages (WEB 1.0), a donné naissance à une pléiade de médias sociaux, qu’on pense uniquement aux blogs, à YouTube, à Facebook et à Twitter. Ainsi, parmi les militants, de nouvelles techniques sont apparues pour prendre partie du WEB afin de mener la lutte vers un nouveau front, celui du cyberactivisme.
L’intervention auprès des médias
Les médias sont et vont demeurer des canaux permettant de porter notre message auprès de nos publics-cibles. La maîtrise de l’intervention auprès des médias est donc un incontournable. Les militants doivent disposer d’atouts pour utiliser au mieux les médias, malgré la censure dont ils font parfois l’objet, mais laquelle est loin d’être opaque.
La démocratie participative
L’action militante ne se déroule pas exclusivement dans le cyber-espace. Des rencontres, des réunions en fait, sont nécessaires pour établir des liens de confiance. Aussi, la démocratie participative doit imprégner la conduite des réunions. Pour ce faire, des fiches d’instructions sont fournies couvrant tous les aspects des réunions.