Qu’on se le dise, les indépendantistes sont engagés dans une lutte de libération nationale au même titre que les pays issus de la décolonisation à la suite de la seconde guerre mondiale. Le conquérant, l’empire ne nous fera pas de cadeau. D’ailleurs, il ne nous aurait pas dominé si longtemp s’il avait fait preuve de faiblesse. Le chef de cabinet de Trudeau, Marc Lalonde, avait donné instruction à la GRC de se comporter au Québec comme en territoire ennemi.

Allaire, Bélanger et Campeau et les autres
Les Québécois s’interrogent sur leur avenir. Livre de Alain-G. Gagnon et Daniel Latouche en collaboration avec Guy  Falardeau publié en 1991 aux Éditions Québec/Amérique, disponible en version numérique, 602 pages.
La non collaboration
Le principe essentiel de la stratégie de l’action non-violente est celui de non-collaboration. Il repose sur l’analyse suivante : dans une société, ce qui fait la force des injustices du désordre établi, c’est la complicité, c’est-à-dire la coopération passive, volontaire ou forcée, de la majorité silencieuse des citoyens.
Online Politics 101 (ang.)
Internet procure à chacun des outils puissants pour influencer les élections, orienter les politiques et changer la direction du débat public. Mais par où commencer ? La revendication en ligne évolue rapidement tout comme les changements technologiques. Leurs utilisateurs doivent donc évoluer autant que leurs attentes. Le passé n’est plus garant de l’avenir. Ce document d’une cinquantaine de page couvre tous les aspects de la revendication politique en ligne.
La guerre cognitive
Menaces, conflit, information : vers une info-stratégie. L’idée d’une « guerre cognitive » suscite des résistances. On objecte souvent que la « vraie » guerre suppose mort d’homme. La gêne provient de l’idée que le rapport de la connaissance avec la violence implique autre chose qu’un mauvais usage de la connaissance, son détournement au service de finalités offensives (fabriquer des armes plus perfectionnées par exemple).
Une science de la guerre
Recueil de textes sur la polémologie soit la science des conflits et de la guerre. Qui est en guerre ? Contre qui ? Et comment le sait-on ? Il y a quelques années, ces questions auraient paru absurdes. Aujourd’hui, la guerre indéfinissable, asymétrique, symbolique, informationnelle change de visage.
L’héritage français dans la contre-insurrection
Confrontés à l’enlisement de leurs troupes en Afghanistan et en Irak, les stratèges américains ont redécouvert grâce au général Petraeus les théories de la guerre révolutionnaire et de la lutte antisubversive. Le regain d’intérêt concerne une variante de la contre-insurrection qui intègre davantage les facteurs culturels, politiques, économiques et sociaux.
Cyber Probing: The Politicisation of Virtual Attack (ang.)Document d’une trentaine de pages produit par la Defense Academy du Royaume Uni. Il explique les opportunités, l’efficacité et la simplicité offertes par les attaques virtuelles à l’aide d’exemples.
L’environnement psychologique dans les opérations extérieures
La gestion de l’environnement psychologique a pour but principal de créer l’adhésion autour de l’action d’une force mandatée pour une opération particulière. Dans certains cas, et plus particulièrement pour les actions de force, elle cherchera à créer la discorde au sein de la coalition adverse pour faciliter le succès de l’opération. Document de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques.
Cyberguerre
Si la guerre est, suivant sa définition classique, une violence armée, collective, supposant mort d’homme, dirigée par des entités politiques dans des buts politiques, et suivant un système de normes ou de droit qui les rend « justes » à leurs yeux, comment transposer toutes ces notions dans le cyberespace ?

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